| Sujet: Re: recupération de fiche Ven 5 Juil - 17:08 | |
| Bonjour ! Oui, bien sûr : voici ta fiche ^^ - Spoiler:
Roxxan Roses Sometime You Try To Fly But You Fall Without Your WingsSi tu devais te décrire tu dirais... |Tu es pâle, maigre, blême, cerné et creusé. Tu es un cadavre. Froid et moite. Un putain de beau cadavre.|
C'est le beauté acide, étrange et fatiguée, la beauté fantôme, écumant ses noires apparences, dans ses noires fumées. C'est la beauté même de l'ombre, synthétisée, chaque accords récoltés, semés, la beauté clandestine et sauvage, hors des dogmes. C'est la beauté vrais, réifié en une statue aveugle. La beauté parfaite des traits imparfaits. C'est la beauté d'un flocon de neige, un flocon de neige sur un étang noir.
Son apparence même est basée dans ce contraste, noir et blanc. Sa peau d'abord, d'une pâleur blafarde, écume épidermique tendue sur un squelette mince ,doucement charnue, un grain fin et tendre, quelques peu moite mais lisse de toute aspérité, de toutes cicatrices, de tout boutons et de toutes marques. La peau parfaite s'il en est. Blanc donc. Diaphane. Livide. De long doigts pâles et fins, vous savez, comme ces doigts de guerriers japonais qui semblent être fait pour le port d'un sabre. Des lèvres. Fines. Pincées. Cruelles. Douceâtres. Un trait mesquin et pale tiré sur son visage, quelques choses de malicieux. Un agencement dans le trait, dans la courbe discrète à la commissure, quelques choses de moqueur et de cynique engravé dans chaque moues de sa bouche. Les paupières. Creusées, d'un blanc teinté d'un violet pâle, cernées et tendres. Tout cela placé sur des traits taillés du couteau d'un artiste expert, qui, expérimenté, n’omet aucun détail, la beauté livide et virile de l'homme-ombre. Un corps certes peu musclé mais aux formes avantageuses et mâle et un visage quasi démoniaque avec cette touche d'ingénuité qui parfait le tout. Un bien beau cadavre, un bien belle tache blanche. Blanc donc.
Noir maintenant. La pilosité d'abord. Les cheveux sont d'un brun oscillant vert l'ébène, plutôt soignée même si leurs coupe est négligée, il sont mi-longs et pleins de reflets. Peu velus du reste du corps il porte cependant sur ses jambes un toisons fine, plus un duvet en faite, tandis que son pubis et son torse son parsemés de quelques poils perdus. Peu soucieux de son apparence, il a cette chance de frôler l'imberbe sur son corps (peut-être moins sur son visage). Aussi, son autre trait noir lui vient de ses yeux, tant de leurs fond que de leur forme. Ce sont deux obsidiennes éclatantes comme une lame sous la lune, deux billes d'ébène taillées en pointe scrutatrice et cynique. Des yeux noirs au regard noir. Pas un noir haineux, mais un noir réaliste, pessimiste peut-être.
Bref, un physique avantageux, en soit. Un corps agréable, un visage beau et un ensemble réussi. Un bonne pièce. Certes, certaines de ces demoiselles et certains de ses messieurs seraient heureux que ce soit le cas mais il ne se promènent pas nu (hormis chez lui). Peu soucieux de son apparence, il s'habille sobrement. Sensible à la chaleur, il opte souvent pour une petite chemise de lin ou de la laine porté seule sur sa peau nue et un pantalon en toile, un paire d'espadrille et parfois, en de rares occasion, une veste. Tout dans la sobriété et toujours dans ce contraste. Noir blanc. Blanc noir. Il est grand aussi. Dans les 1m86, imposant et magnifique. Une sorte de fantômes pâle aux allures d'Apollon. Des tatouages lui barre le bas du dos. Deux mains entrelacées méleés dans un nids d'épines.
| ▌ CARACTÈRE; Les fleurs s’exhibent doucement avec le matin, ouvrant leurs lèvres limpides, une pâleur étrange, des pétales opales veinées de de bleu, de rouge. Orchidée exotique, rarissime au serpents chromatiquess affolants, danse de couleurs en fines veines sur la chair tendre du pétale. Une beauté intrigante, profonde ,artistique et psychédélique, tant dans la forme que dans le fond. L'agencement des traits pour la surface, les dessins, tout dans un alchimie lugubre et candide.
Roxxan est pareil à cette fleur, à ce monstre au lèvres d’argile blanc couleur roses. C'est l'alchimie parfaite d'une âme imparfaite. La fleur, au premier abords est blanche. Une blancheur paisible. Il est calme, à cette impression qu'il donne, il est calme, un être paisible et apaisant, comme un matin de germinale apprécié du regard d'une fenêtre devant la cheminée. Doux aussi, comme cette fleur duveteuse, une douceur candide et ingénue, dangereuse peut-être car annihilant toute violence. Tendre aussi, affectif et profond, franc et honnête. Pâleur albinos.
La veine principale cependant, c'est la veine rouge, la passion, la colère, la haine, la rage. C'est la haine envers lui même, envers son impotence, sa faiblesse, envers ce qu'il peut-être, un négation de soit qui vous inhibe, c'est la veine rouge du misanthrope qui ne s'aimant pas ne veux pas que les autres l'aime, jouant par là du paradoxe qu'apporte sa tendresse et sa douceur. Il n'est tendre qu'envers les autres.
Et puis il y a la veine bleuté, celle du savoir de l'esprit et de l’intelligence. La cervelle affûtée, il ne manque pas de capacité de raisonnement, sa psyché foisonnant de pertinence, analytique, il peut paraître voyeur et scrutateur mais c'est pour alimenté les flux de sa conscience qu'il regarde, observe. C'est donc un âme riche et fructueuse, sensée, et raisonnable qu'il nous offre. Un paradoxe ici aussi cependant, car raison et passion ne sont pas amis d'enfance et ces deux caractères étant exacerbés chez lui, il se fait souvent violence dans ses choix et actions, de fait il sombreras facilement dans le regret ou la culpabilité. Cette intelligence apporte avec elle une note artistique, la note d'un imaginaire et d'une créativité absolue.
Ce même imaginaire qui rentre en échos avec la veine noire, celle de la désillusion, du doute, de la mélancolie, de la peur, de la désinhibition, de la réalité sombre de son être, cette phase psychédélique déphasée par rapport à son apparente passivité. Cette face de lui qu'il n'apprend que par petit morceau et dont la description ne peut être faite car il ne sait pas au fond ce qu'est cette face. La violence teintée de douceur. La folie amère. Celle de l’âme en parchemin déchirée. La géhenne au fond de son cœur. |
Et sinon? Tu as des choses intéressantes à nous raconter sur toi?
D'où viens-tu? Où et comment as-tu grandis? Des choses marquantes durant ton enfance? La porte du bar s'ouvre. L'odeur de tabac ranse se disperse sous l'assaut du vent. Les verre s'entrechoquent et les brouhahas des discutions s'élève. La fille avance. Des yeux lubrique, salis par l'alcool se posent sur elle. Elle ignore. Passant par reflexe sa main sur son ventre grossi. Il a 17ans. Elle avance donc entre les rangée d'ivrognes. Ses yeux maquillés brûlent d'une haine térrible, un enfer dans ses prunelles noires. Chaque pas la rapproche de Lui. Il ne parle pas. Pâle comme la mort, sa pomme d'adam tremble. Elle regarde, ne dit rien. A quelques centimètre de lui. Sa main dans sa poche enserre le manche. Il n'y plus que silence. Tous ont compris qu'il se passe quelques choses. Les lèvres ne se desserent pas. Seul reste ce combat de regards. Noir et bleu. En quelques secondes. La lame sors de la poche d'Edwina. Vole, danse, tranche, pénêtre. La gorge ouvre ses lèvres. Le sang inaugure le bar et le visage de la jeune fille. Pas un murmure, pas un son. Le corps tombe. Ses yeux se ferment. La mort le ceuille. Elle, inspire les dernière seconde de silence qui lui reste. Puis tout explose.
Les hommes se lèvent, les femmes s'enfuient, panniquée. les cloches sonne, appelles. La vielle vaudou s'approche et regarde le corps de ses yeux aveugle, passant sa langue blanche sur ses lèvres avant de regardé la petite. Pitoyable créature. La mort imprime ses mains, ses yeux, la rage imprime sont regards. Les mains enserre ses poignées. Les menottes sont passées. La prison ouvre ses bras.
Pourquoi?
Edwina était la fille d'un riche marchand d'épice. héritière de cet empire commerciale que la famille de son père avait montée elle était promis a Paris, un jeune bourgeois boutonneux et séropositif. Haïssant ce destin qu'on la forcait à vivre. Elle s'était, pas pure provocation, entichée du jeune qui portait le lait le matin. Courant la ville avec lui, elle s'attendait à tout, a tout sauf à ça. Un soir ouvrit ses cuisse à ses amis. Elle fut prise et brisées par ces chiens. Elle avait 18ans, jeune fille en fleur se mit à fannée. Relachée à demi nu, les cuisse en sang dans les rues du Vieux carré, elle se traina jusqu'à chez elle. Ses parent ne la virent pas. Dans un silence sépulcrale, elle se lava, s'habilla. Mais le pire allait arrivé. Au fond de ses chairs, là ou tout est moite rouge et chaud, la ou palpites veines et organes venait de naître le fruit de son déshonneur...
Les mois passèrent, son ventre grossi. Ses parents ne crurent pas au viol et envisagèrent le couvent. Elle fugua. Jeune femme enceinte de 18 ans perdue seule dans les rues sombre de la nouvelle Orléan. Sa rage n'avait aucun égal. Elle en était au huitième mois. Elle n'avait pas voulu avorter. Cet enfant naitra. Mais elle se vengeras. Elle ouvrit la porte du bar. Elle avanca....
La fin de son histoire est aussi pitoyable que la phase précédente. Elle mourut en couche au creux de sa prison, dans l'infirmerie sale, parmi les gloussement mauvais des autres prisonnières.
Ainsi naquit, le premier août 1947 Roxxan Roses, fils d'Edwina Roses et d'Edward Muller.
1950, Bridgnam Orphelinat, Nouvelle Orléans
Roxxan fut élevé dans cet orphelinat médiocre perdu dans les banlieue industrielle de la NO.Il s'endurcit vite. Dans ce genre d'endroit, les faibles crèvent et les forts règnent. Il a su faire parti des forts. C'est une enfance classique d'orphelin qu'il vécu. Sans évènements particuliers, il grandit peu à peu, s'affirmant comme un enfant intelligent et fort,tant physiquement que mentalement.
Il était bien plus indépendant et débrouillards que les autres enfants, plus provocateur aussi. Au grand malheur des gardienne, il faisait bêtises sur bêtise. Se plaisant à déjouer les règles. Il parlait peu. S'isolait. Il ne jouait pas avec les autres petit, enfermé dans sa bulle de conneries puérile, perdu dans un monde trop grand pour son coeur trop petit. Parfois, il pleurait sans savoir pourquoi. Un louveteau solitaire.
Quand il grandit, toujours dans sa bulle psychotique, s'inventant des amis il devint la risée de tous, la tête de turc générale. Frappé, hais. Il s'endurçis encore plus et commença à être violent. S'attaquant toujours au plus fort. Pour un futur vampire son comportement de dominant parait étrange me direz vous. Il était de ces enfants froid qui paraisse trop vieux. Ses yeux. Ses yeux surtout avait l'éclat de la vieillesse. Quelque chose de décalé. Il intimidait adultes et professeurs. Personne ne comprenait cette ombre froide qui animait l'enfant. Personne ne la comprendras jamais. C'est cette veine noire dont j'ai parler plus haut, sa fleur vitale striée de cette noirceurs infâmes. Ses yeux. Un éclat de mort au coeur de la vie.
Comment c'est passé ton adolescence? La puberté et tous ses changements? La libido qui se réveille? La naissance et/ou la découverte de ce que tu es, si c'est le cas? Étais-tu un ado difficile? Croquais-tu la vie à pleine dent? Et la sexualité dans tout ça? Tes rapports avec l'autre sexe? ...
L'adolescence nous ceuille, affirme notre physique, notre caractère, construit ce que nous sommes, détruit ce que nous étions, retaille notre pierre infantile pour quelque chose de plus mature. L'adolescence est ce pont suspendus entre l'enfance et la maturité, ce pont ou l'abysse est le plus profond, fragil que nous sommes. Nous y tombons tous. Il y est tombé. A 13 ans il du quitté l'orphelinat qui fermait pour être placé en foyer. C'était dans la banlieu de new york qui, dans cette période d'après guerre était le centre du monde et surtout, depuis quelques années le théâtre de la naissances d'une contre-culture underground. C'est a New york que du blues naquit le Rythm And Blues que le Rock'n'roll a volé. C'est dans cette même place que, dans les tréfond profond des ames déchirés naquit le Psychédélismes. Cette musique torturée, rongée d'acide où Roxxan sombra quelques années plus tard. Ce milieu occulte, tendu entre rêve et réalité sous les hurlements des guitarre vit naitre l'adolescence, la puberté de Roxxan. Arrosé d'acide, il hantait les rues avant de revennir au foyer. Ses Jean déchirée et ses pupilles dilatés faisaient peur au ancienne génération, de même que ces cheveux longs. Ses gestes amplifiés, le creu de ses coudes salis d'héroïne, le triste reliquat de cette socièté qui prit son apogée à Woodstock. Il vécu parmis ces êtres difformes, ces musiques déchainés, faisant battre son coeur entre Black Sabbath et 13th Floor Elevator. Mourant pour renaitre avec Sid Barret. Cette culture de laquelle il s'imprégna allait décidé de sa vie. Sexuellement, dans ce monde branché hippie il se liberé, s'arrachant au dogmes, il apprit à aimer les deux sexes, sans distinction. Femmes, hommes, tout ça s'était pareil. C'était juste du sexe. Juste deux corps qui s'épousent pour la solitude à plusieur.
Certes il était soumis au régles plutot stricte de ce foyer. Les couvre feux ne lui faisaient pas peur. Le surveillant faisait parti d'un groupe avec lequel il passait des soirées partilulièrement "trash" pour rester dans le jargon. Cette univers lui avait ouvert ses portes et peu à peu il y était sombré. 15ans. C'est un bel age pour finir de se détruire. Avant, ce n'étaient que des jeux. Un joint par-ci, une petite dose d'acide par là, occasionnel. Mais à quinze ans tout s'amplifia. Josh, le surveillant cueillis son corps. Les autres fermaient les yeux, impressioné par ce même Josh dont les contact faisaient peur à tous. On se demande même comment il est parvennu à son métier. Mais c'est son histoire, par celle de Roxxan. Il est juste la porte qui lui a permis de franchir l'ombre, d'y entré et de s'y noyer. La drogue, l'alcool. L'ombre. C'est ce qu'il est devenu. Un enfant de la Nuit. L'Enfant de la Nuit.
O Roxxan rappelle toi. L'ombre.
"Tu regardes, les orbites rouges et offertes. Devant toi. L'ombre. Elle est palpable mais insaisissable, c'est comme caresser la peau d'un miroirs. Mais tu regardes, fasciné,transcendé. Tu regardes au plus profond, les doigts resserrés pour l'attraper, cette ombre, la bouche ouverte pour l'avaler. Tu regardes comme tu regarderait un vieux tableau, comme tu regarderait tes fantasmes, les yeux gloutons. Un sourire excise tes lèvres, salis tes joues, trop noir, trop heureux. Un sourire si vrais sur un visage si plat, si froid, un regard si mauvais, glacé, blasé. Tu regardes avec ce sourire-lambeau, l'ombre omniprésente. Tu regard l'ombre splendide dans sa noirceur infinie. Tu regard le néant. Tu ne regardes rien. Spectateur aveugle d'un théâtre inexistant, tu regards ce rien comme si c'était tout. Comme si c'était toi. Comme si c'était eux. Tu regarde l'ombre, la nuit éphémère dans l’éternel, la lumière noire. Et tu souries toujours, une pointe cruelle à la commissure des tes lèvres. Tu souris comme l'enfant malsain, comme un nourrisson défoncé. Comme tout les autres, tous ces autres toi qui écument les riffs dans leurs jean déchirés, qui regardent et qui sourient, sans comprendre, sans vouloir comprendre, qui boivent les larmes, mêmes les tiennes, mêmes les leurs. Comme tous ces enfants perdus dans leurs psychoses. Assis au bord la rive, tu regardes tous ces yeux danser dans l'eau, une rivière d'iris tendus, inhibés dans la masse, tu les regardes dans les flots noirs couleur larmes, dans les cristaux scintillants d'un torrent de cris. Tous ces yeux qui te fixent. Tu les regardes, tu regardes tous ces yeux dans les yeux, dans le kaléidoscope d'iris, sans foi, sans plus rien, tu regardes. Ces regards qui te regarde. Milles orbites, protomés à l'âme humaine, tendus et distordus dans un accord acétyle. Nihiliste, tu craches, sur tous ces regards secs, ou alors trop mouillés, dans la rivière d'iris couleurs diamants. Ta bouche a le dessin cruel du voyeur éternel. Cénesthésie d'une âme perdue. Perversion d'une psyché néophyte dans un monde antique. Tu découvres, te repais, avale et te nourris de cette ombre insaisissable. Des lourds traits de khôl sous les yeux, les newrocks aux lacets défaits, les veines translucide, bleutés a la pliure du coude, la gorge enflée, une éternelle odeur de cigarette, les oreilles lourdes de riffs noirs, la voix éraillé, le cœur éparpillé. Tu regardes cette ombre éternelle qui plane en épée de Damoclès au dessus de toi. Tes lèvres ont un goût de sel, un goût de sang, un goût de larmes. Tes yeux sont roses, un rose bonbon, un rose albinos, comme si tu avais reteinter ainsi ta vision, colorié l'ombre comme un enfant, sans dépasser. Tu essais. De voir a travers cette ombre. Voir a travers cette ombre rose, tes yeux voilés. Ton âme est sombre. Il faut que tu espères. Que la nuit laisseras place au jour. Qu'il seras temps de sourire pour de vrais, pas de ces sourires sanguinolents, les vrais sourire. Dans un océan de sourire, de rire rose il y a le tiens, le rire noir, le rire d'ombre, le rire miroir de ce que tu vois, cette ombre que tu imprime en toi, que tu te tatoues pour vivre, pour jouir de la noirceur de l'âme humaine, de ce « ça » Freudien qui annihile tout. Ce « ça » qui au fond t'as créer. Enfant de la nuit. Enfant de l'ombre. Membres de cette procession, vivant, diaphane, dans les arrière-salles lugubres des night clubs sordides, qui hurlent dans les micro pour ne pas pleurer. Qui se nourrissent des larmes et de la haine pour être, ces mouches à merdes, vampire suceur de maux. Ceux qu'on croit qu'ils souffrent mais qui ne souffrent pas, non, ils vous souffrent, tu les souffrent. C'est une étrange alchimie de l'âme, l'hyper-puissance psychotique. Un vert acide et limpide jeté sur les corps, sur les formes, dans une mer de formol ou flottent les corps fantômes. Dans le ciel couleur d'absinthe. Dans le ciel. De tes névroses. Les muscles enflée, la bouche atrophiée, la cervelle nécrosée, tu regardes toujours de tes yeux laiteux, à demi mort l'ombre sanguinolente. L'ombre nouvelle. C'est ombre même dont tu es le reflet saisissant, revu, recopier parmi les ages, la génération de plus des adorateurs de cette ombre, de cette peste au relents de lèpres, de cette ombre-gangrène couleur belle de nuit. Prêtres de cette marée robotique au pétrole puant, l'ombre absolu, celle de ton monde. Celle des autres. Cette ombre de souffrance, nouvelle, en un flux de vie que tu bois, cette souffrance absolu de tout les être et de toi même dont tu te gorge, qui te nourrit, cette souffrance absolue, essentiel qui coud tes sourire, ces sourire ensanglanté au goûts de larmes sur les joues défaites. Car la souffrance, la haine, la rage, c'est la vie, ce sont les émotions propres qui te font savoir que tu es en vie, ces émotions que tu hais, que tu aime, qui te font être, que tu incarne dans ton jean trouvé, dans tes yeux cernés, rougies, dans tes veines empoisonnées, dans ta gorge enflée, dans ton cerveaux déréglés, ces sentiments en arbre de pendus que tu mire, admire, et abhorre, que tu rejette en logorrhée névrotique. Ce que tu as fait de ta vie, dans la souffrance absolu que tu adore, celle des autres qui te fait comprendre que tu es mieux qu'eux, la tienne qui te fait comprendre que tu es comme eux. Comme tous ces accords au guitares qui enchantent tes jours, ces voix hurlées dont tu nourrit tes oreilles. C'est ton monde, celui de l'ombre, ce monde clandestin. C'est ton monde, celui des enfants de la nuit."
C'est le mien aussi."
Moi? Je m'appelle Peter, je suis sa perdition.
A l'age de 16ans nous nous rencontrons dans ce foyer. Je venait d'arriver. Je l'ai vu, comme moi, ses cheveux, ses yeux, sa démarche. Un miroir éclaté dont j'hantais les éclats. Je me voyait dans chaque faces, un autre enfant de la nuit. Comme des aimants nous nous sommes rapprochés, corps et âmes. Nous rions en même temps, je commençais des phrases, il les finissait, nous nous perchions ensemble, nous couchions ensemble. Il m'avait dit avoir toujours été seul. Toujours, même parmi ses amis, mais qu'avec moi, il se sentait deux. Nous tombâmes amoureux. Cette même années ou nous sommes parti. Parti pour ne plus jamais revenir. C'en était trop du foyer. De toutes ces choses. De ce monde agonisant fermé par quelques quartiers. Nous voulions le monde. Baiser dans tous les squats. Hurler à la lune. Promener nos corps pâles et trop maigres dans le monde entier. Nous étions comme ces amis que nous inventons quand nous sommes petit. Ces être même dont nous avons besoin, qui sont exactement ce dont nous avons besoin. C'est l'ombre dans laquelle nous voulions nous perdre. Dans le labyrinthe du monde, des enfants camés. Nous étions des reflets, des illusions...
Nous avons couru le monde, les mondes et puis tu es parti. You Gonna Miss Me
Elles sont passée si vite, ces années à t'aimer, à nous aimer. De stop en stop, de bar en bar, de riffs en riffs, de corps en corps, de bouteilles en bouteilles, de piqures en piqures. C'est passé si vite. L'Amérique à ceuilli notre course, puis grace à un autre fuyard, notre rêve, l'angleterre nous a pris. Nous avons hanté. La soif de nuit, nous l'avons étanché. Nous avons vécu le froid et la chaleur. Nous avons courru. Nous avons tué aussi. Nous avons vu l'ombre toujours aussi présente, sans jamais réussir à l'attraper. L'ombre. Nous avons été ces anges sans ailes qui courent en enfer. Il n'y a pas de purgatoire. L'enfer nous le vivons tout les jours. Nous avons été ce reliquat maladif d'une socièté gangrénée. Et puis un soir, un soir je suis mort. Nous étions dans ce squatt que nous avions investie. Enlacé nus après nos ébats. La piqure de plus dans veines. La piqure de trop. Tu n'a rien pu faire. Mon corps trop empoisonné est mort dans tes bras, sous tes lèvres tandis qu'un dernier baiser ceuillait mon agonie. A nouveau tu t'es retrouvé seul. Aussi seul que tu l'a toujours été. Aussi seul que tu le sera toujours...
De toute façon tu n'avais plus besoin de moi. Tu t'étais trouver et l'ombre auquel tu rêvais allait ouvrir ses pétales pour toi. Il fallait que tu m'éfface. Tu étais toi et je n'avais plus raison d'être...
Avec ma mort tu a fuis l'angleterre, de retour en nouvelle Orléan tu es reparti sur les traces de ton passé, trouvant ton histoire.Tu as chercher par ton nom de famille, parler a de vielles personnes. Tu as retrouvé tes grands parents qui après t'avoir raconter ton histoire t'ont sommé de quitté leur vie. Tu ne les as pas hais.
Tu avais 19ans, la vie entière devant toi. Mais tu t'es offert l'éternité. Cela faisait quelques années déjà que nous avions appris leurs éxistence. Que nous les envions, que nous les cherchions. C'était cette même ombre après laquelle on a toujours courru. Tu as continué notre quête. Dans ce bar tu a trouvé. La peau aussi pale que l'hiver, le yeux sombre comme la mort. Les lèvres exsangues et ton sourire. Ton sourire. Tu t'es approché,comme ça. "Je veux devennir un vampire".Un sourire cynique te répond. Assis toi, qu'il te disent. Il y avait la blonde, Alma et puis le brun, Arnold. Tu es reparti sur les routes, toujours humains, mais pas eux. Ils voullaient te montrer, oui te montrer. Ce qu'est l'eternité des Bathory. L'éternité dans le sangs et la nuit eternelle.Tu as passer un temps avec eux que tu n'as pas sur compter. Humain vivant tel un vampire. la nuit. Tu te repaissais déjà de sang. Mais tu en voullais plus. Mais tu as voulu. Ce soir là, nu dans ls draps, leurs deux corps froid contre le tiens. Le sang des vos ébats répendu sur ta peau pale. Tu les a bu. Et puis, leurs dents à présent. Coucher contre ton corps chaud, dans ta gorge. Ton corps entier jouissant de la morsure, perdu entre gémissement et plainte. Ton échine cambrée, tes yeux pleins de larmes tandis que la vie te quitte. Le baiser de la mort au creu de cou. Tu a attraper l'ombre. Et puis tu t'es reveillé.
La première chose que tu as ressentis ce fut la soif. Ta gorge brûlait. Ils avaient prévu. Elle était là. Jeune fille au yeux bleus envoutant. C'est la seules fois ou tu as été sauvage dans ce geste, sans rien d'autre que l'instinct, la seule fois ou ce fut laid, même a tes yeux. Sa gorge qui se déchire, ses cris qui se perdent en remugle sanguinolent, le parfums de la mort dans ta gorge et puis, la satisfaction. L'ombre en toi avait fait son empire. la douceur perdu de ton enfance s'était étiolé entre leurs lèvres, il n'en restait qu'une essence timide. mais l'ombre elle, regnait. Jusqu'à tes 60 ans tu écuma les routes avec eux. Vampires solitaires, dans ce van noir au odeurs de pouritures, entre acide et sang. Entre mort et alcool.
De villes en ville, dans la chartreuse. Tu as travers l'amérique, puis en chine aussi. Tu as vu le monde de la nuit. Tu as ceuillis chaques choses. Horrifiant tes yeux du manque d'honneur, de beauté des autres vampires. Rien que des eternels bourrins assoifés de cruauté, enivrés d'une fausses noblesses. Toi tu créais la beauté. Eux la mort. Au japon tu avait investi le monde des casino et des geisha. Ces femmes splendides te vendait du rêve. Elles avaient cette beauté que tu cherchais. Ce n'étais pas des prostituées malgrés les idées reçue. C'étaient les femmes les plus belles que tu ai jamais vu. Des fleur de neige éclose dans ma beauté froide.
Tu as vécu des amours aussi. Chaques humains que tu aimais, tu le dévorais en volant son corps. C'était ton rituel. le sang humain ne te plaisait que s'il appartenait à celui que tu aimais. Il n'y avait rien de plus beau pour toi que de sacrifié la vie de ton amour pour la tienne. Ceuillir sa vie était pour toi l'offrande absolu, la plus belle preuve d'amour que tu puisse faire. Tu aimait ces corps. Ces tombes. Sans remords. Tu avait ton monde, cette beauté que tu voullait, cette beauté noire que tu créais. Tes créateurs semblaient comblés. Les rois et les reines, tu les méprisais en silence. Il n'avait pas la beauté. Il n'était qu'ombre alors que toi tu étais lumière dans l'ombre.
L'Europe ceuillit l'une de tes plus grandes folie. Un massacre dans un bordel parisiens. Un vampire avait profanés cet endroit que tu avait créer. Tu avais hais cet homme. Tu l'avais détruit comme tu avais détruit chacune de ces putes dont il avait cueillis le coeur. Tu avais du fuir.Le retour en Amérique sous le vent des idéaux noire de parnassien beaudelairien. Alma et Arnold étaient toujours avec toi. Tu les avait supplanté. Ils admiraient ta fraîcheur.
Puis vinrent les loups. Ce soir là dans la forêt. Tu fut le seul à survivre. Tu compris que ce monde magique auquel tu aspirait n’existerais pas tant que cette haine ancestrale sera. La noblesse peux s'offrir à tous les immortels et tu rêve que loups et vampire s'incline sous la même bannière. Les immortels. La beauté peut appartenir à tous. Qui a-t-il de plus beau qu'un loup? Ils sont la représentation même de la beauté sauvage à laquelle tu aspire. Mort, sang, autel de amour. Ce fut ta vie bohème des années durant. 67ans que tu vis. Aspen Creek t'ouvre ses bras. Il est l'heure dans cet épicentre sauvage d'ouvrir tes rêves à tous.
Ouvres la Fleur de tes rêves. Le jardin de beauté chanteras tes louanges.
C'est ton rêve après lequel tu as courru. Ne cherchant qu'a ouvrir dans cet épicentre de magie l'empire du beau. Tu veux l'alliance des deux races. Tu trouveras rois et reine. Tu lutteras pour ce rêve. Pour elever les créatures aux rangs les plus beau. Pour essayer de rétablir, dans tes rêves naif, la noblesse des vampires. Les vampires ne sont que des légendes. Ce que tu as vu ce n'est que des contesse de Bathory, des suceur sans beauté. Tu te batteras quitte à en mourir pour créer ce monde que tu rêve. L'éternité que tu t'es offerte se soumettras à cette cause. Et aussi à la recherche d'un compagnon. Au fil des ans tu t'es découvert une affinité plus profonde -sans mauvais jeux de mots- pour les hommes. Les femmes peuvent te plaire mais l'amour tu ne l'offre qu'aux hommes?
Est-ce ta vie ou ton épitaphe que tu écrirais ici. La suite de ton histoire ou un excergue? C'est à toi de l'écrire. C'est à eux. Puisses-tu ceuillir sans moi les fruits de tes illusions. Puisses-tu être l'artiste de ce monde onirique que tu chéris.
Allez encore quelques petites questions? [size=9]Le principe est simple, ici il te suffit de répondre du tac au tac le première chose qui te vient à l'esprit...
¤ Mer ou Montagne? sea ¤ Les enfants c'est chiants ¤ Quelle couleur? noir et rouge ¤ Un moyen de locomotion? mes pâtes ¤ Une arme? ma langue ¤ Le courage c'est useless ¤ Bien ou mal? evil ¤ La gentillesse, la compassion c'est de la pitié ¤ Sucré ou salé? sucré ¤ La hiérarchie pour toi c'est de la daube ¤ Fidèle ou infidèle? haha ¤ La rancune pour toi c'est aussi inutile que le courage ¤ Hommes ou femmes? hommes ._. ¤ Le sexe pour toi c'est indispensable ._. ¤ La religion pour toi c'est de la m***e ¤ Plantes ou animaux? animals ¤ Tension ou passion? passion ¤ L’honnêteté c'est... cool ¤ Seul ou accompagné? accompagné ¤ La confiance pour toi c'est important? ¤ Le jour ou la nuit? Night ¤ L'amour c'est bio ¤ Juge, jury ou bourreau? Bourreau ._. ¤ Le surnaturel c'est Coolos ¤ Humain, Loup, Vampire? Vampire ¤ Le mot de la fin? J'aime les moooooooches ._. |
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Au joueur/A la joueuse de nous parler de lui à présent.₪ Prénom ou Pseudo; Alexis ₪ Âge; ... ₪ D'où viens-tu?; Clermont Ferrand ₪ Que penses-tu du forum? il m'a l'air funkie ₪ Que penses-tu du design ? il est super ._. ₪ Comment as-tu atterri ici? chais plus xD, annuaire forumactif je crois ₪ Double compte? (cf.règlement)... ₪ Votre avatar? Eugen Bauder *w* ₪ Briggs et moi? O.O? ₪ Autre chose à ajouter? Hum, je suis dysléxique, je fais ce que je peux pour l'orthographe et la grammaire mais je m'excuse d'avance pour les fautes que je n'ai pas su chasser. ₪ As-tu signé le règlement ?- Spoiler:
Je soussigné(e) [Roxxan Roses] certifie avoir lu et compris le règlement de ce forum et m'engage à le respecter. Je déclare avoir 18 ans ou plus et avoir conscience que certains propos tenus sur ce forum pourront être "crus" et brutaux. Je dégage l'équipe administrative de toute réaction négative de ma part à ce sujet. Ceci fait, je promet de m'amuser sur ce forum, de m'y évader et de vénérer ces perfections même, ces personnalités envoûtantes et envoûtées que sont les administratrices de ce forum... ₪ Que faire de moi? - Spoiler:
Moi [Roxxan Roses], AUTORISE le staff à faire ce que bon lui semble de mon personnage en cas de départ de ma part... ₪ Voulez-vous être parrainé? ca ira je pense ._. ₪ LE CODE DU REGLEMENT; |
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